Au départ de l’aventure, il y a toujours la quête, la quête du trait parfait, de l’épure. Puis, après avoir cherché longtemps, on se dit qu’il ne faut plus chercher. On a découvert le trésor, il faut maintenant le dilapider.
Alors viennent les images dans un fourmillement désordonné menant partout, menant nulle part.